Chazelles repart sur son PLU en intégrant les remarques de la préfecture. Un point a été fait sur les zones invalidées par l’Etat : Chazelles a réussi à récupérer en constructible la pointe de St-Paul. « Par contre, on ne va pas se battre pour les parcelles de Chez Bâtisse, de Treilles ou pour le porche de la Pipaudie… » commente le maire. Il reste aux élus à vérifier, d’ici septembre, quelques données techniques et juridiques et si tout va bien, « le PLU serait finalisé d’ici avril-mai » ose espérer le maire.
Micro-crèche.- La « Cabane des chats z’ailés » est opérationnelle et sera inaugurée le 31 juillet. En attendant, le conseil avalise des avenants : sur le lot n°3 (construction bois), un avenant de -131,95 euros (3 portes et des tablettes en moins, une porte coupe-feu en plus, un poste de travail en plus, un peu plus de bardage bois, pour couvrir la pompe à chaleur), sur le lot n°6, un avenant de -191,36 euros (raccordement sanitaires en moins), sur le lot n°7, +2.951,73 euros (une alarme incendie en plus, du courant triphasé au lieu de monophasé), sur le lot n° 11, un avenant de +735 euros. « Ce qui nous amène à un nouveau coût total de 304.482 euros, soit toujours en dessous des 320.000 euros planifiés au départ » précise le maire. En outre, GRT Gaz financera 6.000 euros de jeux d’extérieur à proximité de la micro-crèche.
Aménagement de l’avenue de la République.- Le plan final de l’aménagement est arrêté. « On lancera la consultation en septembre pour ne pas perdre le bénéfice de la DGE » précise le maire. D’ici là, les géomètres devront être consultés pour des relevés topographiques. Pour l’effacement des réseaux, le SDEG propose un devis de 159.217,26 euros, dont 82.285,81 euros payés par lui et 70.402,66 euros à charge de la commune (le solde au conseil général).
Relais GSM.- Confronté à la volonté de négocier de la commune, SFR a relevé son offre pour l’achat de la parcelle du stade sur laquelle est posé son relais GSM. On passe ainsi de 15.000 à 18.000 euros. « Pour aller au-delà, il faut solliciter l’autorisation d’un échelon décisionnaire national » explique le maire, qui craint que vue de Paris, la demande chazelloise ne passe à la trappe. Le conseil accepte donc cette offre.